Les perles de Lisa
Quelques phrases/conversations cultes de Lisa qu’on a envie de partager avec vous.
– La routine du matin, lorsque Gaël la dépose à l’école, et du soir, lorsqu’il est l’heure de faire dodo: “on fait un câlin bien chaud (elle se blottit contre nous), un câlin du boa (elle nous étrangle en nous serrant dans ses bras) et un bisou”.
– Extrait d’une conversation surprise par Gaël à l’école :
Lisa pleure. Son instit lui demande ce qu’il se passe.
Lisa : “Max said I’m a potatoe”
Instit : “And are you a potatoe Lisa?”
Lisa : “No”
Instit : “so you can go to Max and tell him that you’re not a potatoe, and that you don’t like it when he says you’re a potatoe”.
Lisa va vers Max : “you know what, Max, I’m not a potatoe and I don’t like it very much when you say I’m a potatoe, ok?”
Max ne dit plus rien.
– Lisa marche avec mes talons dans l’appartement, ça fait un boucan d’enfer : “je te casse les oreilles, maman?” me demande-t-elle d’un air ingénu.
– Lisa m’appelle et je la retrouve devant notre miroir – elle sautille et dit : “regarde maman, mes cheveux ils sautent, car moi j’ai des loooooongs cheveux”.
– Conversation téléphonique entre maman (au Chili pour le boulot) et Lisa, plantée devant une carte du monde qu’elle montre avec force gestes : “maman, toi tu vas prendre l’avion, and après tu vas traverser la rue, and après tu vas ouvrir la porte, and après tu vas être à la maison, and après il y aura papa, lisa and maya, and après ça sera super cool”. (ndlr : le “and” est un vieux reste de la grande époque du franglais version Lisa).
Un post ne serait pas complet sans un échantillon de photos de notre vie new-yorkaise.
No, Lisa, you’re not a potatoe and you have a very long hair.
Adorable !
De très belles photos mais dites donc quel beau temps en octobre à NY
Bisous
vous êtes magnifiques tous les 4, Maya est resplendissante, elle a les yeux de Christine, quant au petit phénomène Lisa, elle est tout bonnement super !!!!
il y avait longtemps que nous n’avions pas vu Gael les pieds en l’air, c’est chose faite. Adeline quant à toi , j’admire le barda que tu transportes dans les musées, comment fais tu ? tu dois être crevée en rentrant chez toi, chapeau !!! bisous à tous, les passavy